
Se vacciner c'est se protéger soi mais aussi les autres
En se vaccinant, on se protège mais on protège aussi les autres, ceux qui ne peuvent pas être vaccinés (nouveau-nés, femmes enceintes, personnes immunodéprimées). Pour éviter la réapparition de maladies graves, il faut atteindre ou maintenir des couvertures vaccinales élevées voire supérieure à 95 % pour certains vaccins comme le ROR et cela tout au long de la vie selon l’Organisation Mondiale de la Santé.
Objectif : augmenter les couvertures vaccinales
L’obligation vaccinale pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018 permet de protéger les nourrissons dès leurs premiers mois de vie et d’améliorer les couvertures vaccinales encore insuffisantes en Nouvelle-Aquitaine contre de nombreuses maladies.
A tout âge de la vie : un vaccin !
La vaccination ne concerne pas que les enfants, c’est à tout âge de la vie qu’il faut maintenir sa protection vaccinale. Si on a oublié un ou plusieurs rappels, contrairement à ce que l’on pourrait croire, il suffit de faire un rattrapage et de reprendre la vaccination au stade où elle a été interrompue.
L'importance d'une bonne information

La vaccination suscite beaucoup d’interrogations, de craintes et de doutes, amplifiés par de fausses informations (particulièrement sur les réseaux sociaux) qui peuvent laisser penser que les risques liés aux vaccins sont plus fréquents que ceux liés aux maladies. Il est donc primordial de fournir à la population des informations objectives et transparentes. Faites un point sur vos vaccins avec un professionnel de santé et confiez-lui toutes vos interrogations.
Calendrier des vaccinations

Calendrier des vaccination 2025 :
Ce calendrier reprend l'ensemble des vaccinations recommandées et obligatoires en France, pour les personnes, à tout âge de la vie.
Les vaccins obligatoires pour les nourrissons sont les vaccins suivants :
- DTP, coqueluche, Hib, Hépatite B, pneumocoque : ces 5 vaccins doivent être réalisés avec une injection à 2 mois, puis 4 mois et 11 mois.
- Le ROR (rougeole, oreillons, rubéole) doit être réalisé à 12 mois puis une 2e dose entre 16 et 18 mois.
- Le méningocoque C doit être réalisé avec une 1e dose à 5 mois puis une 2e à 12 mois.
Les vaccins recommandés pour les nourrissons sont les suivants :
- BCG : une injection à un mois
- Rotavirus : une injection à 2 mois, puis 3 mois
- Méningocoque B : une injection à 3 mois, 5 mois puis 12 mois
- HPV : 2 doses entre 11 et 14 ans, avec un intervalle de 5 mois
Un rappel du DTP doit être réalisé à 6 ans, 11-13 ans, 25 ans, 45 ans puis à partir de 65 ans, tous les 10 ans.
Un rappel de la coqueluche doit être réalisé à 6 ans, 11-13 ans et 25 ans.
Pour les adultes de plus de 65 ans, les vaccins ci-dessous sont fortement recommandés :
- Grippe : tous les ans
- COVID-19 : tous les ans
- Zona

Depuis le 1er janvier 2018,12 vaccins sont obligatoires. Il s’agit des vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’Haemophilus influenzae de type b et l’hépatite B combinés au sein d’un même produit puis contre les pneumocoques, les méningocoques A, C, Y,W, le méningocoque B et contre la rougeole, les oreillons et la rubéole eux aussi combinés . Il ne s’agit pas de nouveaux vaccins. Ils existent depuis longtemps et on a du recul tant sur leur efficacité que sur leur tolérance.
Grâce aux vaccins combinés,(DTCP,ROR) le nombre d’injections est limité et l’ensemble des vaccinations peuvent se faire en seulement 8 rendez-vous. Ceux-ci s’étalent entre la naissance et les 18 mois de l’enfant.
Pour les autres enfants, les adultes et les personnes âgées, même sans obligation, les vaccinations sont indispensables. Faîtes le point avec un professionnel de santé.
A quoi ça sert de se faire vacciner contre des maladies « disparues » ?

Un tableau qui montre le nombre de cas de chaque maladie en France avant et après l'arrivée du vaccin correspondant. A chaque fois le nombre est divisé par 100 voir par 1000.
Dans notre pays, nous avons accès à la vaccination. Et c’est pour cela que nous ne voyons plus certaines maladies.
Seul le maintien d’un taux de couverture vaccinale élevé permet d’éviter à ces maladies de ressurgir à l’occasion d’un contact avec une personne malade.
Ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de cas que les microbes ne tentent pas de circuler ! les virus, les bactéries continuent à circuler et peuvent contaminer une personne non ou mal vaccinée.
Les maladies disparaîtront-elles définitivement avec la vaccination obligatoire ?
L’obligation vaccinale ne fera pas disparaître totalement l’ensemble des maladies. En effet, ces éradications ne sont envisageables que lorsque le réservoir du germe est strictement humain. C’est ainsi que la variole a été éradiquée et que l’éradication de la rougeole et de la poliomyélite est possible et fait des objectifs de l’Organisation mondiale de la santé. L’atteinte de ces objectifs implique une démarche mondiale dans laquelle la France est engagée.
En revanche, la bactérie responsable du tétanos est omniprésente dans l’environnement. L’éradication du tétanos n’est pas possible. Il faut donc continuer à se faire vacciner toute la vie pour rester protégé.
Si la couverture vaccinale de la population pour les vaccins du calendrier vaccinal atteignait 95%, les risques de contamination seraient contrôlés et la protection individuelle comme collective des personnes serait assurée contre les maladies ciblées par ces vaccins.
Tel est l’objectif de la vaccination !
Pourquoi ne pas laisser notre système immunitaire combattre ?
- Une protection contre les maladies :
Les vaccins permettent au système immunitaire de reconnaître un agent pathogène sans tomber malade contrairement à une infection naturelle. Il n’y a pas de risque :
- de complications graves (hospitalisation, séquelles, décès),
- de transmettre la maladie à d'autres personnes vulnérables
- Une Prévention efficace et durable
Les vaccins entraînent une réponse immunitaire ciblée qui permet à notre corps de se défendre rapidement en cas d’exposition future. Cette protection peut durer des années, voire toute une vie, selon le vaccin.
- Une Protection collective
La vaccination permet de réduire la circulation du virus ou de la bactérie dans la population. Cela protège :
- Les personnes immunodéprimées,
- Les nourrissons trop jeunes pour être vaccinés,
- Les personnes âgées ou fragiles

La vaccination, c’est un choix personnel, ça ne doit pas être obligatoire ?
En se vaccinant on se protège mais on protège aussi les autres. Plus nous sommes nombreux à être vaccinés, plus nous ferons barrière aux maladies graves pour ceux qui ne peuvent pas être vaccinés. L’objectif est que 95 % d’entre-nous soient vaccinés. L’obligation vaccinale pour le DTP a permis d’atteindre une couverture vaccinale supérieure à 95 % ce qui a fait disparaître la diphtérie et la poliomyélite de notre pays.
Ainsi la vaccination est un acte solidaire et citoyen et donc une question de santé publique qui prend le dessus sur notre libre-arbitre.
L’obligation est-elle le seul moyen pour atteindre les taux de vaccination nécessaires à la protection de tous ?
Aujourd’hui pour arriver à l’objectif OMS d’une couverture vaccinale de 95% pour les vaccins du calendrier vaccinal, il reste encore du chemin à parcourir. Pour y parvenir, dans un contexte où les recommandations seules n’ont pas permis d’obtenir des couvertures vaccinales satisfaisantes, la seule solution est de rendre obligatoires les vaccins du nourrisson. L’obligation renvoie à la notion de nécessité de protection de tous les nourrissons.
Ces vaccinations présentent elles un risque ?
Bien sûr comme tout médicament, un vaccin peut provoquer des réactions indésirables bénignes ou transitoires du type douleurs ou rougeurs au site d’injection, et des réactions générales comme la fièvre (voir le site vaccination-info-service.fr). Tout vaccin, pour être commercialisé, est évalué par les autorités sanitaires européennes et/ou nationales selon des critères scientifiques de qualité, sécurité et efficacité. De plus, les vaccins font l’objet d’une surveillance et d’une réévaluation périodique.
Aujourd’hui, plusieurs centaines de millions de personnes sont vaccinées chaque année en France et dans le monde. Ce qui permet d’affirmer que pour l’immense majorité des personnes les risques de la vaccination sont très rares et ses bénéfices sont indéniables.
Le risque de développer une maladie grave en n’étant pas vacciné est beaucoup plus important que celui de voir apparaître un effet indésirable grave lié à la vaccination.
Qu’en est-il de l’aluminium dans les vaccins ?
L’aluminium est un adjuvant. Les adjuvants vaccinaux sont indispensables à l’efficacité de très nombreux vaccins. Ils sont utilisés pour augmenter la réponse immunitaire contre l’antigène microbien contenu dans le vaccin. Ils permettent ainsi de diminuer la quantité d’antigène vaccinal par dose, de réduire le nombre de doses nécessaires pour assurer une bonne immunisation, de renforcer la réponse immunitaire chez des personnes avec un certain degré d’immunosuppression. C’est le cas, par exemple, du DTP. Les sels d’aluminium figurent parmi les adjuvants les plus utilisés dans le monde avec un recul d’utilisation de plus de quatre-vingt-dix années et des centaines de millions de doses injectées.
L’exposition à l’aluminium provient essentiellement des aliments, de l’eau et de certains médicaments. La toxicité de l’aluminium n’existe que pour des intoxications massives aigües ou des consommations chroniques à des dosages élevés. Aucune preuve de toxicité neurologique imputable à l’aluminium issu de l’alimentation ou des adjuvants n’a pu être fournie, dans des conditions habituelles d’exposition.
Concernant les vaccins obligatoires chez les enfants de moins de 2 ans, en France, la quantité d’aluminium par dose varie de 0,125 et 0,82 mg par dose. Ces doses sont donc très inférieures à la limite maximale recommandée et négligeable au regard des teneurs contenues dans l’alimentation, notamment dans le lait maternel ou artificiel. A titre de comparaison, deux carrés de chocolat contiennent déjà 0,4 mg d’aluminium.
Le vaccin ROR peut-il être déclencheur d’autisme ?
En 1998, le journal médical britannique de référence The Lancet publie une étude remettant en cause l’innocuité du vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR). Le travail porte sur 12 enfants et conclut que le vaccin ROR est responsable d’un tableau combinant un autisme et des troubles digestifs (« autistic enterocolitis »). De fait, cette controverse a eu comme conséquence au Royaume-Uni une baisse importante de la couverture vaccinale du ROR dès l’année 1998, provoquant la résurgence de la rougeole. Cette maladie, qui était en régression constante depuis 1994-1995, est ainsi redevenue d’actualité à partir de l’année 2000, deux ans après la publication de l’article : la progression du nombre de cas de rougeole est ainsi directement imputable à la controverse provoquée par Wakefield. La couverture vaccinale n’est repartie à la hausse qu’en 2005-2006.
En parallèle, les conclusions de l’article d’A. Wakefield ont progressivement été remises en cause sur un plan scientifique.
- D’une part, sur un plan épidémiologique, aucune des études menées sur des populations importantes ne mettait en évidence de lien entre la vaccination contre rougeole-oreillons-rubéole (ROR) et des troubles du spectre autistique.
- D’autre part, il apparaissait que les données présentées dans cet article résultaient d’une fraude : entre autres, les enfants ne présentaient pas de lésions digestives, le délai entre la vaccination et les signes d’autisme n’était pas celui qu’avaient rapporté les parents, et leur inclusion dans l’étude résultait de la volonté de leurs parents de poursuivre le fabricant du vaccin et non de la constatation d’un état clinique particulier.
Après une enquête d’investigation menée par le journaliste Brian Deer, l’article est désavoué par le Lancet en 2010.
Depuis d’autres études portant sur un nombre très important de patients vaccinés ont confirmé qu’il n’y avait aucun lien entre le vaccin ROR et l’autisme et notamment une étude danoise récente réalisée sur plus de 650 000 enfants).
Le système immunitaire des bébés est capable de supporter autant d’injections ?
Les données scientifiques montrent que l’administration de plusieurs vaccins en même temps n’a aucun effet néfaste sur le système immunitaire de l’enfant. Au quotidien, notre système immunitaire est confronté à des milliers d’antigènes. Et un rhume banal ou une affection de la gorge expose l’enfant à un nombre d’antigènes beaucoup plus importants que les vaccins.
L’administration de plusieurs vaccins en une seule fois comporte, en outre, des avantages : il limite le nombre de consultations et permet ainsi aux enfants de recevoir les vaccinations suffisamment tôt avant d’être exposés aux différentes maladies. Enfin, cela limite aussi le nombre des piqûres (par exemple en combinant la vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole dans un même vaccin).

La vaccination contre l’hépatite B peut-elle créer la sclérose en plaque ?( référence : vaccination info-service)
La suspicion d’un lien entre la vaccination contre le virus de l’hépatite B (VHB) et la sclérose en plaques (SEP) date du milieu des années 1990, suite à la notification de cas de sclérose en plaques au système français de pharmacovigilance (surveillance des effets indésirables). De nombreuses études ont été réalisées entre 1996 et 2004 afin de s’assurer que cette vaccination n’augmentait pas le risque de sclérose en plaques ou d’autres maladies auto-immunes. Sur le total de 11 études disponibles, 10 d’entre elles ont conclu à l’absence d’association avec des complications neurologiques comme la sclérose en plaques. Au total, les études menées n’ont donc pas confirmé le lien suspecté entre la vaccination contre le virus de l’hépatite B et des effets indésirables graves, que ce soit en termes d’atteintes neurologiques de type sclérose en plaques, ou d’autres maladies auto-immunes.
La suspicion de lien avec la sclérose en plaques n’a jamais concerné la vaccination du nourrisson.
À noter que les antécédents familiaux de SEP ou les antécédents personnels de SEP ne sont pas une contre-indication à la vaccination.
Si les vaccins sont sans risque, pourquoi la justice a-t-elle donné raison à des plaignants estimant être victimes d'effets secondaires graves liés aux vaccins ?
Selon les études scientifiques, il n’y a effectivement pas de lien de cause à effet entre les vaccins et certaines maladies (vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques par exemple). Mais les décisions de justice sont basées sur l’application et l’interprétation de la loi par le juge et non par des scientifiques. Il est donc arrivé que le juge considère qu’un doute « légitime » (qui n’est en aucun cas une preuve ni une conclusion d’expert) doive profiter à la victime supposée.
Cela a notamment été le cas pour la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) qui, dans une décision rendue en juin 2017, a estimé que des juges pouvaient donner raison à une personne s’estimant victime d’un vaccin, à condition qu’elle présente des « indices graves, précis et concordants » pouvant permettre de conclure à un possible lien de causalité entre la vaccination et une maladie, et ce, en l’absence d’un consensus scientifique.
Retrouvez ce questions/réponses dans le flyer vaccination à télécharger ci-dessous
Médecins, infirmiers, sages-femmes, pharmaciens (vaccin contre la grippe) ... peuvent vous vacciner.
Retrouvez les coordonnées de tous les lieux de vaccination sur les cartes postales à télécharger ci-dessous :

Charente (16)
Centre de prévention de la Charente
(et Maisons des solidarités du Conseil départemental)
8, rue Léonard Jarraud - 16000 Angoulême
05 16 09 76 05 - Toutes les lignes de bus
Charente-Maritime (17)
Centre municipal de vaccination
2, rue de l’Abreuvoir - 17000 La Rochelle - 05 46 51 51 43
Plusieurs lignes desservant les arrêts «Porte Neuve» ou «Dupaty Ferté»
Corrèze (19)
Centre de vaccination - Service hygiène et santé
22, rue Berlioz - 19100 Brive-la-Gaillarde
05 55 18 17 34 - Ligne bus 2
Équipes PMI - Maisons solidarité départementales
Secrétariat PMI : 05 55 93 73 53
Creuse (23)
Centre départemental de vaccination
20, boulevard Guillaumin - 23000 Guéret
05 44 30 26 44 - Agglo’bus - Ligne A1
Dordogne (24)
Centre départemental de vaccination
Cité administrative Bugeaud - Bat B
Rue du 26ème Régiment d’Infanterie
24016 Périgueux Cedex
05 53 02 03 93
Réseau Péribus : e3, e5, e6
Gironde (33)
Maison départementale de la santé
2, rue du Moulin Rouge 33200 Bordeaux Caudéran
05 57 22 46 60
Lignes bus 1, 9, 16 et 41
Centre de vaccination Bordeaux Sud
10, rue Vilaris - 33800 Bordeaux
05 57 95 93 80 Lignes bus 1, 9, 10, 11, 15 et 45
Centre de vaccination Bordeaux Nord
9, rue Gouffrand - 33000 Bordeaux
05 57 87 13 66 - Lignes bus 4, 15, 72 et Tram C
Centre de santé de Bagatelle
203, route de Toulouse - 33400 Talence
05 57 12 40 32 - Lignes bus 5, 20 et 43
Centre de vaccination Bordeaux Bastide centre
47, rue de Nuits - 33100 Bordeaux
05 56 32 74 48 - Lignes bus 10, 45, 80 et Tram A
Espace santé étudiant
Domaine Universitaire - 22, avenue Pey-Berland - 33600 Pessac
05 33 51 42 00 - rdv Doctolib
Ligne Tram B
Espace santé étudiant
3, place de la Victoire - Bâtiment F - 1er étage - 33800 Bordeaux
05 57 57 19 07 - rdv Doctolib
Lignes bus 5, 11, 15, 20, 45, 47, 58 et Tram B
Service santé voyages
Hôpital Saint-André - 86, cours d’Albret - 33000 Bordeaux
05 56 79 58 17 - Lignes bus 4, 5, 15, 16, 24, 45, Tram A et B
Centre de vaccination Robert Picqué
Hôpital d’instruction des armées Robert Picqué
351, route de Toulouse - 33140 Villenave d’Ornon
05 56 84 70 99 - Lignes bus 5 et 43
Landes (40)
Centre départemental de vaccination
8, Rue Victor Lourtiès- 40000 Mont de Marsan
05 58 85 84 00 - Lignes bus B, C, E et N
Centre hospitalier de Dax
Boulevard Yves-du-Manoir - 40100 Dax
05 58 91 49 57 - Lignes Couralin 1 et D
Lot-et-Garonne (47)
Centre médico-social Agen - Louis Vivent
26, rue Louis Vivent - 47000 Agen
05 53 69 43 21 Toutes les lignes de bus
(arrêt Préfecture à 300m environ)
Centre médico-social Agen - Tapie
265, rue Louis Lavelle - 47000 Agen
05 53 98 62 30 - Ligne bus 2
Centre médico-social Marmande
4, square de Verdun - 47200 Marmande
05 53 64 65 45 - Lignes bus B et C
Pyrénées-Atlantiques (64)
Centre de santé étudiants
Résidence Clé des Champs - 2, rue Audrey Benghozi - 64000 Pau
05 59 40 79 01 - Lignes bus 2, 3, 4 et 5
Centre hospitalier de la côte basque
13, avenue de l’interne Jacques Loeb 64100 Bayonne
Vaccination tout public : 05 59 44 32 98
Vaccination voyageur : 05 59 44 35 69
Lignes bus 4, 14, 15, 814, 815, B, C et Navett
Centre hospitalier de Pau
4, boulevard Hauterive - 64000 Pau
05 59 72 78 02
Lignes bus P4, T1 et T2
Deux-Sèvres (79)
Centre de Vaccination et de conseil aux Voyageurs
CH de Niort
40, avenue Charles de Gaulle - BP 70600 -79021 Niort cedex
05 49 78 30 04 - Lignes bus A, B, C, F et L
Centre de Vaccination Public 79 (CVP 79)
CH de Niort - 40 avenue Charles de Gaulle - Ascenseur 3 niveau 4 - 79021 Niort
05 49 78 30 72 - Lignes bus A, B, C, F et L - Proximité de la gare
Vienne (86)
Centre de vaccination anti-amarile et conseils voyages - CHU Poitiers
2, rue de la Milétrie - CS 90577 - 86021 Poitiers Cedex
05 49 44 30 88 - Lignes bus 1, 10, 11 et 13
Haute-Vienne (87)
Centre de vaccination
2 rue Félix Eboué 87000 Limoges
05 55 45 49 00 - Ligne trolleybus 4
Service Universitaire de Médecine Préventive et de Prévention de la Santé (SUMPPS)
39J, rue Camille Guérin - 87036 Limoges
05 55 43 57 70 - Ligne bus 10
Conseil départemental de la Haute-Vienne
11, rue François Chenieux - 87000 Limoges
05 44 00 11 64/65 - Ligne trolleybus 1
CHU de Limoges
4ème étage - Aile B - 2, avenue Martin Luther King-87042 Limoges cedex
05 55 05 66 44 - Ligne bus 10